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Histoire

UN PEU D’HISTOIRE …

Pecqueuse est un village de 740 hectares à vocation agricole.
L’origine du nom Pecqueuse n’est pas connue. On pense au latin « Pescusa », ou bien au vieux Français piqueux, rabatteur de chasse, car la forêt de Rambouillet s’étendait vraisemblablement jusqu’ici. A l’appui de cette hypothèse, il existe dans la forêt un « Carrefour de Pecqueuse ».
L’état civil est archivé depuis 1672, d’abord registre paroissial tenu par le curé, puis après la révolution, par le curé et le représentant du peuple, puis à partir de 1794, par le représentant du peuple.
A l’origine, le village était constitué de quelques bâtiments agricoles regroupés autour de son église. La petite chapelle de l’époque romane a été profondément remaniée aux XV ème ou XVI ème siècles avec la réalisation de la charpente en « nef de vaisseau renversé ».
Le clocher a été remanié au XVIII ème siècle pour prendre sa forme actuelle relativement originale dans notre région. La cloche mise en place à cette occasion est datée de 1736.
Dans la première moitié de notre siècle, la commune avait toujours sa vocation agricole avec de grandes fermes isolées ou intégrées au village, des mares utilisées pour abreuver le bétail et comme réserve d’eau.
Les photos du début du siècle montrent ce village agricole avec des fermes et des cafés.

 
ESQUISSE HISTORIQUE

Leboeuf, dans son histoire du diocèse de Paris imprime en 1757, s’exprime ainsi en parlant de Pecqueuse : ‘« Nous n’avons en France que ce seul village de ce nom, et un autre en Brie, dans le diocèse de Sens, appelé Pequeux. »
Pequeuse est en effet la seule commune qui porte ce nom.
Pequeux en Brie, dont il est parle dans l’ouvrage de Leboeuf, et qui s’écrit aujourd’hui Pequeux, est un hameau de 104 habitants de la commune Aubepierre (Seine et Marne). Un autre hameau dont le nom est Pequeur (182 habitants) fait parti de la commune de Aire sur le Lys (Pas de Calais).
On trouve Pecqueuse sous différents noms: « Pecus, » pouille de Paris au 13 eme siècle- la cure de « Pecusiis,Pecqueusiis », pouille du 14 eme siècle et registre de ce temps. En 1203 Gautier de Limours, dit Richard, donna a l’abbaye des Vaux de Cernay la terre qu’il possédait « in valle Pecosa ».
En 1280 Henard de la marche et Marie, sa femme, dame de Limours, firent aussi une donation de 14 arpents de terre près de Pecqueuse, « juxta Pescesam ». En 1757 Leboeuf écrit « Pecqueuse ». Dans les anciens titres de 1600 a 1700, dans les registres depuis 1640 , on trouve « Pecqueuse, » comme aujourd’hui ainsi qu’il est écrit dans un contrat de vente passe en 1736 et dont il sera parle plus loin. Il est probable que ce nom vient de Pascua, pâturage, ou de Pascuosus, qui signifie propre a servir de pâturage.
Pecqueuse est comme des le 11eme siècle. A cette époque il y avait déjà une paroisse. « Le fond de l’église , dit Leboeuf (1757), peut dater de cinq cents ans. Saint Medard, évêque de Noyon, patron de cette église, y est représenté en relief, ainsi que Ste Radegonde reine de France »
Cette église fut accordée par évêque de Paris au prieure de Longpont vers l’an 1100. Elle est comprise dans la bulle de confirmation des biens de cette maison donnée par Eugène 3 en 1151,en ces termes:
« Ecclesiam de Piscosis cum decima et atrior ». C’est ce qui faisait que le Prieur avait le droit d’y nomme un cure, suivant les pouilles de tous les temps.
Dans les anciens papiers de Limours, on trouve cette note: « Etat des papiers de la fabrique de Pecqueuse, remis a Conflaur le 8 août 1771 et envoyés le même jour a M Godescart: 1125-1706: Copies. Imprimes des collations de plusieurs titres des 11eme, 12eme, 14eme, 16 eme, 17 eme siècles qui prouvent que les prieurs et religieux de Longpont ont toujours possède l’Eglise et la paroisse de Pecqueuse avec les dîmes et nominations a la cure depuis plus de 600 ans.
– 2 mai 1528: Nécrologe de la fabrique de Pecqueuse, fait par Robert Dausse, clerc, le 2 mai 1528, comprenant 21 feuillets en parchemin relies en peau blanche. » Cette note était pour un procès que la fabrique de Pecqueuse avait a soutenir contre le prieur de Longpont.
En 1549 les paroissiens demandèrent a évêque de Paris de permettre a l’évêque de Megare « fit la dédicace de l’église, bénit le cimetière et son agrandissement « ,allegnant que cette église reconnaisse pour pâtures St Medard et Ste Radegonde.
(La translation du cimetière, qui était attenant a église, eu lieu en 1886).

Livre « Il était une fois … Pecqueuse en Hurepoix »
Prix : 18 euros (se renseigner en mairie).

 

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